Articles, événements, vidéos, créateurs en ligne… Dans “L’avez-vous- vu/lu”, UGGC Avocats partage ses coups de cœur (ou plaisirs coupables).

Tous les deux ans, la ville de Lyon abrite sa Biennale d’art contemporain. Sa 17ème édition s’est ouverte sur le thème “Les voix des fleuves, Crossing the water”. Les associés UGGC avocats ont pu la découvrir le temps d’un week-end au bord de la Saône…

Cultures populaires et industrielles convergent au sein du site principal de la Biennale : les Grandes locos. Dans cet ancien centre d’entretien de la SNCF, la Biennale de Lyon s’est appropriée plusieurs hangars gigantesques pour déployer des installations marquantes.

Déambulant parmi les installations visuelles et sonores, notre préférence est allée à la harpe géante de bouteilles de verre créée par l’artiste Bastien David, que nous avons aimé faire vivre et animer ensemble avec les visiteurs, en faisant résonner bouteilles, gongs  et percussions. 

Autre rencontre surprenante : la découverte d’une symphonie de cocottes minutes musicales révolutionnaires, “Les marmites engagées”, réalisée par l’artiste espagnole Pilar Albarracin. Toujours dans la fibre engagée, l’installation “Les sols ont vibré” de Feda Wardack, architecte et artiste afghano-français, nous a transportée dans une construction épurée, miroir des destructions des karez afghans. 

Et puis ce fût l’envie de se perdre dans un tunnel géant en bois auréolé de lumière, porté par une armée de tortues métallisées : “Monument for People on the Move” signé par l’artiste autrichien Hans Schabus.

 On ne peut toutes les citer mais les projections hypnotiques y sont marquantes, et pour se séparer des cérémonies sonores et prendre le large, on oublie le temps avec “Le fleuve, sans rive” de Jean-Christophe Norman…

Ouverte depuis le 21 septembre dernier, vous avez jusqu’au 5 janvier 2025 pour découvrir la Biennale !

  • publié le 14 octobre 2024