D’après DigitalFoodLab*, les startups FoodTech françaises devraient lever environ 290 millions d’euros en 2025 soit 35% de moins par rapport à 2024 et 74% de moins par rapport au pic de 2022. En d’autres termes, l’argent est encore là mais le marché amorce une phase de correction : moins de deals, des investisseurs plus sélectifs, et des exigences plus fortes sur la rentabilité et l’exécution.
Conséquence pour le juriste, son rôle devient central pour “dé‑risquer” la levée en fixant certains points clé : contrats et responsabilités supply chain (traçabilité, chaîne du froid, rappels, dépendance à un façonnier), preuves des allégations (origine, nutrition/santé, environnement) et dossier de due diligence (data room, IP, assurances, clauses clés).
* Etat des investissements dans la FoodTech française en 2025



